Il était jusqu’à ce dimanche 5 janvier 2025, jour de son décès, l’un des derniers survivants de la race des pionniers du cinéma gabonais. Avec la disparition de  » ce gardien du temple », c’est une page mémorable du cinéma gabonais qui se referme à jamais.

Cette figure de proue du cinéma gabonais, est rappelée à Dieu, des suites d’une longue maladie. Oncle Didine était atteint de la maladie de Parkinson.

Ce décès d’Adrien James Prince de Capistran, avec 56 films à son compteur, dont « l’Auberge du Salut » qui l’a justement révélé sous le pseudonyme d’Oncle Didine, plonge la mémoire nationale dans le deuil.

Adieu l’artiste !