Après L’auto flagellation en début de la transition politique, où la République s’est aplatie devant le Chef de l’Etat congolais, Denis SASSOU NGUESSO, sur fond de: » à vos ordres Monsieur le Président! ».
Les confusions de genres, dans lesquelles le Président Equato Guinéen, Théodoro OBIANG NGUEMA est publiquement appelé » Papa » ! Un paternel revendiqué, au profit de qui, est curieusement revenue la « liquidation » à « vil prix » des iles Mbanié, Cocotier et Conga, au mépris de la Souveraineté nationale !
L’exfiltration éhontée de la prison centrale de Libreville des membres du gang BONGO, dont Sylvia et Nourredin, en sus de celle du « prisonnier en sursis », Ali BONGO, tous ou presque, auteurs de crimes politiques, crimes de sang et de crimes économiques, perpétrés en bandes organisées.
L’indécent glissement de la fonction présidentielle sous les fourches caudines d’hommes d’affaires Libanais, avec la visite ahurissante d’une épicerie de seconde zone, dans la commune de Ntoum » Prix Import ».
Voici que les gabonais et la communauté internationale, sont récemment restés interloqués devant la transformation du Président gabonais en « mascotte » de la vision idéologique du suprématiste (supériorité de la race blanche) et Président américain, Donald TUMP. Comble du ridicule, l’image d’un OLIGUI NGUEMA, campé en publiciste du fond de campagne électorale du Chef de l’Etat américain, dont il portait sans sourciller la casquette aux effigies des États-Unis d’Amérique impérialistes et conquérants. Une communication choquante, symptomatique de Président immergé dans la peau de garçon de courses de l’impérialisme rampant. Cette grotesque faillite de la communication politique, s’est invitée le vendredi 11 juillet 2025 lors de son retour au Gabon, après une visite de travail à l’invitation de son homologue américain.
Un acte de « vassalisation », révélateur d’une confusion criarde entre jeux (kounabélisme) et enjeux géostratégiques, et dont l’onde de choc continue de meurtrir la conscience collective !
Mais diantre ! Où étaient donc le protocole d’Etat et la communication présidentielle au moment de la commission des faits ?




