Mathilde Panot.
Non pas simplement une élue, mais une conscience debout.
Dans un paysage politique souvent marqué par la prudence calculée ou le silence complice, elle incarne une rareté : celle d’une voix qui ne plie pas, d’un courage qui ne négocie rien.
Incontestablement, elle est la figure la plus vaillante de la République — non par bravade, mais par fidélité inébranlable à ses principes.
Son intrépidité n’est pas un éclat de rhétorique, mais un choix quotidien : celui de dire vrai quand d’autres détournent les yeux, de défendre les oubliés quand d’autres courtisent le pouvoir.
En elle résonne l’écho des grandes figures de justice — celles qui, au péril de leur tranquillité, choisissent l’honneur plutôt que la facilité.
Mathilde Panot n’est pas seulement une voix dans l’hémicycle : c’est une boussole morale dans une époque désorientée.




