Mesdames et Messieurs

Invités et Distingués en vos rangs, grades et qualités

Chers compatriotes

L’état de déliquescence dans lequel s’enlise notre pays sous la double responsabilité de la pieuvre qu’est la Françafrique et de son bras armé qu’est le système Bongo-PDG, nous commande au sursaut patriotique visant à ôter de notre cou ce genou, symptomatique de la charge esclavagiste sous laquelle nous croulons sur les différents plans : politique, économique, social, culturel et militaire. Des effets conjugués qui participent à la contexture des maux qui plombent notre accès à la souveraineté nationale, depuis le simulacre d’accession du Gabon à son indépendance en 1960. Indépendance folklorique concédée sous la dictée de la France, s’affublant le grossier attribut de puissance tutélaire, comme si nous étions voués à une infantilisation permanente. Les termes de ces accords bidons contrastent d’ailleurs avec la notion d’indépendance, puisqu’ils nous confinent au statut d’Etat membre d’une communauté française et d’outre-mer, dans laquelle le Président français est campé en Président de ladite Communauté. En français facile, le Président français est juridiquement investi de la qualité de Chef d’Etat des Etats membres de cette Communauté sous tutelle de la France. Par conséquent, Président des Etats d’Afrique francophones. Des réalités répulsives dont la trame pourrait justifier la levée de boucliers du capitaine Dadis Camara, Président de la transition militaire en Guinée d’alors, je cite « La Guinée n’est pas une sous-préfecture de la Paris! » fin de citation! Face à ce qui précède, rassemblons notre courage pour nous dégager de ceux qui se complaisent dans ces inénarrables rôles de sous-préfets de Paris.

De la tutelle d’une Communauté impérialiste à une autre, voici le cauchemardesque dessein dans lequel semble nous enfermer le système Bongo, avec la très fraîche adhésion du Gabon au Commonwealth. Changement en trompe l’œil, sur fond de liens de subordination, qui ne doit constituer un prétexte visant à baisser la garde, dans notre lutte contre le néocolonialisme. Car peu importe le nom d’emprunt du maître colon, un serpent reste un serpent, et le fait d’opérer une mue, ne saurait lui faire perdre la férocité de sa nature d’impérialiste impénitent.

Le Mouvement OSONS POUR L’AFRIQUE dont je suis le Président, se refuse à se résigner au silence complice, à l’attentisme et à l’inaction. Nous décidons donc de prendre toute notre part de responsabilité devant l’Histoire, en ajoutant notre pierre au panel d’offres de sortie de l’obscurantisme. Ce refus de capitulation sur fond de révolte contre l’intolérable et l’inacceptable, motive notre engagement à briser ce cycle séculaire de damnation, savamment entretenue par le maître colon et la horde de courtisans que sont les nègres de salon. Mon passage à l’action contre ces pratiques d’esclavagisme des temps modernes, est notamment acté dans mon engagement dans la course à la présidentielle de 2023, avec pour leitmotiv : DECONSTRUISONS LA FRANCAFRIQUE POUR ACTER LA REFONDATION DU GABON. Programme de REFONDATION audacieux, innovant, patriotique et futuriste, qui s’inscrit sur une période de 3 ans maximum, et dont les 4 axes majeurs se déclinent comme suit :

  1. SOUVERAINETE et SECURITE
  2. JUSTICE SOCIALE, REDISTRIUTION EQUITABLE DES RICHESSES NATIONALES et CULTURE
  3. REFORME INSTITUTIONNELLE
  4. DIPLOMATIE
  1. SOUVERAINETE et SECURITE

Mettre un terme aux accords de coopération avec la France, prédatrice de nos richesses et épine dorsale de la séquestration de notre souveraineté politique et qui impose ses hommes de paille à la tête de nos Etats. Ce mobile principal fonde notre choix pour la fin de ces accords de coopération gagnant-perdant, qui servent notamment de socle juridique à la présence encombrante de l’Armée française sur notre sol. Armée étrangère dont le démantèlement sans délai, dès notre arrivée au pouvoir, est non négociable.

Des pistes de reploiement de notre agenda militaire sont en cours, pour la poursuite de la sécurisation du territoire national, d’ici à la prise en main opérationnelle des questions de sécurité nationale par nos unités de défense et de sécurité.

La fin encadrée et précipitée de la monnaie de singe caricaturée en Comptoir Français d’Afrique, CFA, reste au cœur de nos priorités économiques.

Une somme de points d’ombre au tableau qui met en exergue l’urgence historique de ne point léguer à nos enfants la responsabilité de notre génération, qui est de signer l’acte de décès de la Françafrique, et partant, de déconstruire toute forme d’impérialisme sur le Continent. Car comme le dit le penseur : « Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, l’accomplir ou la trahir ». Nous choisissons d’être du côté de ceux qui embrassent le courage d’accomplir leur mission, en vue de hâter la matérialisation du Gabon rêvé par nos ancêtres : Gabon où la vertu, le patriotisme, la démocratie, l’Etat de droit et la redistribution équitable des richesses nationales, servent de bréviaire à l’action politique.

 

  1. JUSTICE SOCIALE, REDISTRIBUTION EQUITABLE DES RICHESSES NATIONALES et CULTURE

a)  JUSTICE SOCIALE

La justice sociale est cette rampe qui sert d’outil d’aide à l’édification d’une société avec le droit pour cordeau, et la justice, comme niveau. Toute chose qui nous exige de fait, de nous départir d’un Gabon au brouillon, hérité d’un système politique en panne de valeurs. Triste Gabon dans lequel les détournements des deniers publics sont érigés en mode de gouvernance ; la fraude électorale banalisée en raccourci menant aux fonctions d’Etat, et l’homosexualité propulsée en moteur d’ascension sociale. Cette gestion chaotique de l’Etat dans laquelle s’entremêlent des pratiques incestueuses avec les ennemis de le République, laisse planer chaque jour le spectre de voir les filles et les fils du Gabon être dépossédés de leur pays, au profit de prédateurs fonciers venus pour certains d’autres cieux.

Dans le cadre des principales mesures correctives, nous énumérons notamment :

Retour à la pénalisation de l’adultère et de l’homosexualité.

Retour au sacro-saint principe de l’indépendance de la justice, et arrimage des lieux privatifs de libertés aux standard des droits de l’Homme.

Inverser l’ahurissante courbe d’importation de plus de 90% de produits vivriers présents sur le marché gabonais, par la relance d’une politique agricole nationale offensive, permettant d’atteindre à court terme l’autosuffisance alimentaire.

Réformer la loi sur le foncier, pour plus d’équité dans l’accès aux terres domestiques, et dans la réorganisation des permis d’exploitation forestière et agricole. Une réforme qui concèdera l’exclusivité de l’accès au titre foncier aux nationaux.

Mise à plat des instruments juridiques qui servent de terreau à la banqueroute programmée du Gabon et à sa transformation en tabernacle de détournements astronomiques des fonds publics. Renouveau juridico-institutionnel qui impose la dissolution de la Constitution, taillée à la volonté du prince et à ses affidés ; La dissolution de l’Assemblée Nationale et du Senat, désacralisés sous le règne Bongo en de tristes chambres d’enregistrement. La dissolution également de la tristement célèbre Cour Constitutionnelle, qui rivalise de talent à jalousement préserver sa funeste réputation de tour de pise, et de gardien du temple du déni de démocratie au Gabon.

Pour redorer le tableau, OSONS POUR L’AFRIQUE invite à la mise en place d’une Constituante, avec pour cœur de métier la rédaction d’une nouvelle constitution, sur la base de la loi fondamentale issue de la conférence nationale de 1990, du fait du large consensus qui en est découlé de cette grand-messe politique. Constituante qui ne saurait être l’exclusivité de la seule classe politique, mais un creuset de réflexions républicaines prenant en compte les contributions des différentes composantes de la société gabonaise, allant des organisations de la société civile, aux sages, en passant par les intellectuels, les acteurs culturels et sportifs, les mouvements de jeunes et des femmes, etc.. Organe de concertation politique et social qui aidera notamment à servir de contrepoids à l’action gouvernementale, dans l’intervalle du retour rapide au corpus constitutionnel. Autre question d’intérêt national relevant du vivre-ensemble et confiée à l’organe de concertation nationale qu’est la constituante, l’éternelle problématique de la transparence électorale et du financement des partis politiques. Sur le premier point, le Mouvement OSONS POUR L’AFRIQUE opte pour la biométrisation du processus électoral avec centralisation des données des bureaux de vote, pour enfin permettre la proclamation des résultats d’élections politiques le même jour.

Un toilettage de la loi électorale qui nous permettra de tourner le dos aux pratiques éhontées de tripatouillages, dans lesquelles le Parti Démocratique Gabonais, P.D.G au pouvoir, n’a de cesse émargé ces 46 dernières années, avec pour dernière trouvaille en date, la tragi-comédie des résultats issus de la province du Haut Ogooué lors de la présidentielle d’Août 2016. Enième hold up électoral qui a davantage écorné la crédibilité du processus électoral au Gabon, en mettant à mal les résultats issus des urnes qui étaient largement favorables à Jean PING, de sources concordantes. Et contre toute vraisemblance, des résultats officiels, aux antipodes de la voix des urnes, ont scellé la réélection controversée d’Ali BONGO à la tête du Gabon, en occasionnant au détriment du pays, sept années supplémentaires de déchéance.

b) REDISTRIBUTION EQUITABLE DES RICHESSES NATIONALES

– Tendre vers le chômage zéro par le développement d’un pool industriel de transformation de matières premières, de production et de vente des biens et services, en vue de booster la création des richesses, de favoriser l’environnement du plein emploi et de lutter contre la pauvreté.

– Instaurer une indemnité nationale de solidarité de 200 000 francs cfa/mois au bénéfice de tous les gabonais d’au moins 24 ans, en pouvant justifier d’un emploi, soit faute d’opportunités y relatives, soit sur présentation d’une notification motivant d’une incapacité partielle ou totale à vaquer à une occupation professionnelle.

– Fixer le plancher du salaire minimum national à 350 000 francs caf/mois pour les travailleurs du secteur public, en instaurant une indemnité salariale de solidarité, visant à combler le gap chez les nationaux travaillant officiellement dans le secteur privé, et payés en deçà du salaire minimum national.

– Promouvoir la gratuité de la scolarité de la maternelle à l’enseignement supérieur, avec retour à la bourse d’études du secondaire au supérieur, assortie des commodités socio-économiques propices à l’éclosion des intelligences (Centre de Documentation et d’information, C.D.I ; Internat ; Espace loisir et sportif ; Gratuité du transport scolaire ; etc….)

– Création des écoles intégrées sur toute l’étendue du territoire national : Des écoles pilotes dans lesquelles cohabitent des élèves dits valides et ceux victimes d’handicap divers (déficients visuels, auditifs, intellectuels, handicapés moteur etc……)

– Contextualisation les programmes scolaires avec au moins 40% des enseignements adaptés à la réalité gabonaise et à la vraie histoire politique et sociale du pays, dépoussiérée des mensonges de l’occident visant à falsifier l’histoire des peuples et du monde. En somme, sortir l’instruction de nos enfants et de la future élite des mains de nos bourreaux. Car comme le dit un adage africain : « Tant que les lions n’auront pas leurs historiens, les récits de chasse donneront toujours le bon rôle au chasseur ».

– Elaboration d’une norme gabonaise, servant de filtre à l’entrée sur le territoire national des produits issus de l’importation, ainsi qu’à la sortie du pays des produits destinés à l’exportation. Une norme devant également servir de digue à la validation de tous travaux de bâtiments, et toute autre préoccupation d’intérêt public.

– La gratuité des soins de santé aux élèves, étudiants, handicapés, femmes enceintes et aux personnes du troisième âge.

– Maintien de la pension retraite à la moyenne des salaires de base s’écoulant sur les trois dernières années de l’activité professionnelle.

c) CULTURE

– Apprentissage obligatoire des principales langues nationales à l’école.

– Favoriser la création, le développement et la promotion des produits MADE IN GABON (Industrie, invention, artisanat, cosmétique, culinaire, médicinal, etc….)

– Création sur toute l’étendue du territoire national des CENTRES MULTIDISCIPLAINRES D’IMMERSION CULTURELLE, visant à nous réapproprier l’étendue de notre patrimoine matériel et immatériel.

– Promouvoir les industries culturelles et favoriser l’accès aux droits d’auteurs.

 

III) REFORME INSTITUTIONNELLE

 

Notre projet de réforme des institutions au sommet de l’Etat, comprend au summum la Présidence de la République, qui se dote d’une cellule de la Renaissance Africaine, chargée de piloter sous le contrôle du chef de l’Etat, les projets d’émulation à la souveraineté nationale sur le Continent. Cellule qui a par ailleurs pour mission l’élaboration de la stratégie de lutte contre la pauvreté par l’industrialisation à l’échelle du Continent africain, avec l’apport en soutien des capitaux gabonais.

Une Présidence de la République s’appuyant sur deux piédestaux institutionnels chargés de la mise en musique du programme politique du Chef de l’Etat. D’abord, le Gouvernement, piloté par un Premier Ministre qui rend directement compte au Président de la République. Ensuite, le Conseil National de Surveillance, chargé de la qualité de vie. Institution Constitutionnelle dirigée par un collège de 9 membres avec à sa tête un Président, secondé par un Vice-Président. Tous deux accompagnés dans leurs missions par 7 Commissaires membres.  Le Conseil National de Surveillance, chargé de la qualité de vie, rend compte devant la Nation de la gestion des fonds publics et des fonds d’intérêt public, au moins une fois par an.

Missions du Conseil National de Surveillance, chargé de la qualité de vie :

  • Dynamiser le secteur parapublic par la création et la gestion des industries de transformation et des pools économiques de vente des biens et services, afin absorber le taux de chômage par l’offre d’emplois aux gabonais patientant en salle d’attente du marché du travail.

 

  • Définir les critères d’organisation de la norme gabonaise, et veiller au respect de son application sur l’ensemble du territoire national et auprès de toutes les représentations nationales à l’étranger.

 

  • Assurer l’exécution du paiement de l’indemnité salariale de solidarité, au bénéfice des gabonais du secteur privé exerçant une activité professionnelle encadrée par la législation, dans et en dehors du territoire gabonais, et percevant des revenus en deçà du salaire minimum national qui est 350 000 francs cfa/mois.

 

  • Contrôler et auditer les administrateurs civils et militaires doublés du statut de gestionnaire et/ou ordonnateur de crédit : Président de la République, Premier Ministre, Présidents d’Institutions, Membres du Gouvernement, Gouverneurs, Directeurs Généraux, et l’ensemble des acteurs impliqués dans la chaîne des administrateurs civils et militaires concernés.

 

  • Engager l’Etat dans la recherche des partenaires extérieurs.

 

  • Valider les contrats d’intervention des sociétés concessionnaires.

 

  • Produire au moins une fois l’an des rapports sur l’état de la dépense publique, et diligenter des poursuites judiciaires le cas échéant.

La Banque Nationale du Gabon :

C’est la Banque de l’Etat, qui supplante le Trésor public, elle est placée sous la double tutelle du Gouvernement et du Conseil National de Surveillance, chargé de la qualité de vie.

Outre ses missions régaliennes, la Banque Nationale du Gabon a pour vocation de constituer un fonds des générations futures.

 

IV) DIPLOMATIE

Restructuration des Institutions régionales et Continentales, en repensant notamment les modèles de financements, pour rompre avec le cercle vicieux de l’assistanat de l’occident, entre autre source de démasculinisation de l’élite politique africaine.

Renforcer la Coopération avec les Etats amis et alliés, dans le cadre de la reconquête de la souveraineté des Etats africains, et partant, du renforcement de la lutte contre l’impérialisme occidental.

Faciliter l’ouverture du marché gabonais aux pays amis et alliés en phase avec les aspirations des nouvelles autorités.

Impulser l’initiative de refonte du Conseil de sécurité de l’ONU, en recadrant notamment les déséquilibres sur le partage des pouvoirs dans la gestion du Droit de Véto. Nous proposons un Droit de Véto par Continent, porté par un Etat partie, désigné par ses pairs.

Réécriture du droit international, trop complaisant à l’endroit des tyrans occidentaux.vc

Conclusion :

Aux ennemis de l’Afrique et aux garants du statut quo de notre monde, le Mouvement panafricain OSONS POUR L’AFRUQUE déclare sans langue de bois aller en guerre contre les tenants de l’ordre ancien, pour permettre à l’Afrique de s’affranchir des pesanteurs à son développement et à la souveraineté de ses Etats. Une levée du joug impérialiste qui donnera l’opportunité à l’Afrique de prendre toute la dimension de sa stature de sève nourricière du monde, en l’assumant avec droiture, équité, justice, fraternité et altruisme.

Impossible de clôre mon propos sans faire chapeau-bas et présenter solennellement mes respects distingués aux Républiques du Mali et de la Centrafrique, pour leur pied de nez à cette pieuvre qu’est la Françafrique, grâce à l’engagement nationaliste doublé du patriotisme à toute épreuve de leurs dirigeants, respectivement leurs Excellences, ASSIMI GOITA et Faustin Archange TOUADERA.

Dans la perspective de l’élection présidentielle de 2023 au Gabon, puisse le peuple gabonais nous doter du levier du suffrage universel suffisant, devant nous permettre de bouter de Françafrique de nos murs. Avènement de renouveau politique, qui bousculera davantage les portes entrouvertes de la Renaissance Africaine, dans laquelle le Gabon a vocation de locomotive.

Grâce à l’Eternel des Armées, l’Afrique a rendez-vous avec sa pentecôte politique.

Vive le Mouvement panafricain OSONS POUR L’AFRUQUE

Vive le Gabon libre et immortel

Vive l’Afrique Souveraine et Eternelle.

Nous vous remercions.

BIO PORTRAIT de Marc Ulrick MALEKOU-MA-MALEKOU, Président du Mouvement Panafricain : OSONS POUR L’AFRIQUE

Né le 4 Juillet 1975 à Libreville, Marc Ulrick MALEKOU-MA-MALEKOU

exerce en qualité de journaliste depuis plus de 2O ans, avec comme principale

activité extra-professionnelle, la défense des droits de l’Homme.

Ce Directeur de Publication du multimédia en ligne, MAZLECK INFO, démarre sa formation sur le tas en 1999, avant de bonifier son savoir et son savoir-faire par des stages d’immersion en France, notamment à Radio Canal Educatif Francophone à Paris et à l’Université Michel de Montaigne / Bordeaux 3.

La Radio Panafricaine, AFRICA N°1, la Télévision privée TV+ où il est intervenu en qualité de Rédacteur en Chef Adjoint, l’hebdomadaire ECHOS DU NORD où il a été Rédacteur en Chef chargé du pool numérique, avant son arrivée comme Directeur General Adjoint à Radio Télévision Nazareth, RTN, sont entre autre Desk de travail à mettre à son actif.

Ancien Président du Réseau Gabonais des journalistes des Droits de l’Homme, avant de présider l’Observatoire National des Prisons, Marc Ulrick MALEKOU-MA-MALEKOU s’est fait enrôler ces vingt dernières années dans le contingent des journalistes engagés, aux côtés des victimes d’abus divers et des organisations politiques et de la société civile, engagées sur le front du respect de l’Etat de droit.

La création il y a 4 ans du Mouvement Panafricain, OSONS POUR L’AFRIQUE, est le prolongement de cette somme de batailles, empreintes d’abnégation.

 

mazleckinfo@juin2022