La Haute juridiction, se dévoile fidèle à sa triste réputation de « Tour de pise », dans sa légendaire propension à rendre des décisions empreintes du fait du Prince.
Un rendu scellé de non recevabilité et enrobé de machiavélisme, en ces temps de transition politique, au point de ne différer en rien, aux heures sombres du magistère de 3M, Marie Mademoiselle MBORANTSUO.
Le cousin de Machiavel, le Prince béton, en nouveau maître des lieux, semble vouloir se complaire à naviguer dans les eaux troubles, héritées de 3M, la
compagne de feu Omar BONGO ONDIMBA, et belle mère d’Ali BONGO, caricaturé pour le dernier cité, par feu Casimir OYE MBA, comme un accident de l’histoire.
Décision qui vient conforter le scepticisme ambiant, en faisant planer des nuages sur la sincérité du rendu des résultats de la prochaine élection présidentielle, attendue d’ici à août 2025.
Comme quoi, avec une Cour Constitutionnelle toujours séquestrée par les consaguins du Prince régnant, sur fond de caporalisation, voire de patrimonialisation de la haute juridiction, c’est la démocratie gabonaise qui demeure en danger, tant qu’elle ne se sera pas affranchie des fourches caudines du sulfureux système BONGO-PDG-CTRI.
Nous y reviendrons !