Les cadres de réflexions physiques et virtuels des personnes invitées à faire valoir leurs droits à la retraite au Gabon, sont enrobés de colères incandescentes, à la suite de la promesse non tenue du Président de la transition d’associer les retraités au partage du gibier ! Excusez du peu, à la suite de l’amère constat du paiement au lance-pierre des rappels de leurs pensions retraite, alors que le Général-Président, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, s’était personnellement engagé, la main sur le cœur, lors de son dernier message à la Nation, d’éponger ce pan de la dette intérieure.

Les nerfs, visiblement à fleur de peau, les retraités, notamment regroupés au sein de l’association nationale des retraités du Gabon, Anareg, et au sein du syndicat national des retraités du Gabon, Synareg, n’excluent pas de faire parler la foudre, si le CTRI se refuserait à revisiter sa copie.

Extrait in extenso de l’expression libre d’une colère 😡 noire, exprimée en leur sein, sur fond d’exigence de justice et réparation.

Lu pour vous :

< < Haro sur l’escroquerie morale du CTRI à l’encontre des retraités.

La montagne à accouché d’une souris, quant aux promesses solennellement faites par le Président du comité de transition pour la restauration des institutions, CTRI, d’éponger d’ici fin février 2024, le paiement des rappels de nos pensions retraite.

A période échue, la promesse vire, à la surprise générale, en eau de boudin, avec à l’arrivée, une minable portion congrue oscillant entre le 1/10 et le quart des sommes dues, selon les cas de figure. Comme quoi, à défaut de nous avoir associé au partage du gibier, pour caricaturer les éléments de langage du CTRI, les retraités que nous sommes, sont simplement voués à se contenter des merles.

Face à cette arrogance morale sur fond d’atteinte de trop à notre dignité, le devoir nous commande à une riposte collective, visant à sonner le tocsin. Une réaction nécessaire, pour contraindre les autorités de la transition à revisiter leur copie, en vue de nous traiter avec plus d’égards. Car comme nous ne cessons de le répéter, il ne s’agit nullement pour nous de recevoir une aumône, mais plutôt de faire respecter nos droits en toute dignité.

Désormais au fait de cette désillusion partagée, je suis tenté de questionner les agissements du CTRI: jusqu’à quand voulez-vous continuer à berner les gabonais de fausses promesses que vous êtes incapables de réaliser ?

Après donc cet amer constat aux allures d’escroquerie politique, l’heure est plus que jamais à la mobilisation et aux opérations de retroussons les manches, dont les seules visées sont de réclamer: Justice et réparation.

Plus jamais ça ! >> Fin de citation.