A la suite du tumulte né de cette opération sauvage de déguerpissement à Libreville, qui a mis à nu, les carences du gouvernement dans la gestion de cette patate chaude, le Président de la République,  Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, tente plus que jamais de sauver les meubles, en invitant à la discussion au palais du bord de mer le lundi 16 juin 2025, les sinistrés et les administrations techniques impliquées, dans le cadre de la recherche d’un modus vivendi.

Enterrer la hache de guerre et parvenir enfin, au respect des obligations sociales, humaines et Constitutionnelles imputables à l’Etat, c’est à dire, les préalables à toute opération de déguerpissement, que sont: l’indemnisation ou le relogement; toile de fond de ces pourparlers « de paix ».

Espérons que les exigences, quelque peu maladroites faites aux victimes de ce déguerpissement, d’émarger dans la victimisation, en sollicitant la magnanimité et la mansuétude du Président OLIGUI NGUEMA, le tout, sur fond de « Mea culpa », ne constitueront pas une pierre d’achoppement à cette palabre !

Un drôle de scénario, vraisemblablement mal inspiré, visant in fine à extorquer des aveux de blanchiment de l’administration centrale, tout en rejetant l’entière responsabilité de ce chaos inédit, sur les seuls deguerpis.

Pour veiller à la mise en œuvre effective des décisions qui y seront issues, il a été procédé à la mis en place un comité de suivi, regroupant toutes les parties impliquées. Commission placée sous la coordination du Vice-président de la République, Séraphin MOUNDOUGA.

Dossier à suivre, de très très près !